Samedi 26 août

logo_bresil_01.pngVoilà, le jour du retour est arrivé.
Rémi nous accompagne à l’aéroport, on se dit juste au revoir car l’on se retrouve samedi 2 septembre pour fêter son passage en France avec la famille et ses amis. Encore merci à lui pour cette excellente semaine.
Nous ne savons pas combien de temps il restera ici mais s’il devait rester, il y a encore beaucoup de région à découvrir dans ce grand pays donc les excuses ne manqueront pas pour revenir.

Nous quittons Brasilia à 11h05 pour une escale à Sao Paulo.
Cette fois-ci, contrairement à l’aller, nous avons une escale de 10h. Vérone va la mettre à profit pour tenter de trouver le bureau des objets perdus de l’aéroport en espérant retrouver son téléphone.
Nous rejoignons le terminal d’embarquement de notre prochain vol et après avoir mangé un peu, elle part d’un pas décidé à l’aventure dans cet immense aéroport. Je commence à m’inquiéter, cela fait 1h30 qu’elle est partie. Je la vois revenir le sourire aux lèvres. Ça n’a pas été simple mais elle a retrouvé son téléphone qui avait été déposé aux objets perdus par un bon samaritain, merci à lui.
Nous quittons le Brésil à 22h35 pour une arrivée à Paris dimanche 27 à 14h45.
Jérémie et Aurore viennent nous chercher à l’aéroport et nous confier Paul. La semaine prochaine nous partons en Thiérache pour 4 jours à la ferme.

brazil_tourisme_illustrations.jpgSouvenirs du Brésil

  • La taille des villes visitées.
    Rio : 1 260 km2, 6 520 270 habitants.
    Salvador de Bahia : 707 km2, 3 408 273 habitants.
    Brasilia : 5 202 km2, 2 562 964 habitants.
    Paris : 105 km2, 2 220 445 habitants.
  • Les brésiliens sont pires que nous sur les langues étrangères. L’anglais est très peu parlé et le français quasi inexistant même sur les lieux touristiques (monuments, restaurants, hôtels…).
  • Comme c’est une question que l’on nous pose à chaque fois que nous racontons notre séjour et bien non, nous n’avons eu aucun problème de sécurité. Comme toute grande ville, il ne faut pas trainer dans les endroits à risques et étaler ses « richesses ». Les brésiliens sont accueillants, souriants et prévenants. Nous avons été avertis lorsque notre sac à dos était facilement accessible (Brasilia) ou que le coin où nous nous promenions n’était pas un endroit pour touristes (Salvador).
  • Le mois d’août au Brésil bien qu’en plein hiver est des plus agréables en température si comme nous vous n’appréciez pas les grosses chaleurs. Nous avons pu nous baigner. Il faut juste s’habituer au fait que le soleil se couche tôt, nuit vers 18h00.
  • La possibilité à presque tous les coins de rue ou lieux fréquentés de commander un jus de fruits frais (Suco) confectionné devant vous.
  • La qualité de vie à Brasilia. Le cahier des charges de la ville sortie de terre en 1960 demandait que, pour 1 m2 de construction il y ait 1m2 d’espace vert et que les immeubles soient construits sur pilotis afin de ne pas boucher l’horizon, ceci donne une ville aérée avec de larges avenues.

Cette année, pour être en accord avec notre tentative de réduction de notre empreinte carbone, nous avons décidé de compenser notre voyage aérien.
J’ai calculé l’émission de CO2 pour notre vol France / Brésil sur le site CO2 Solidaire. Nous avons émis 7,43 tonnes à nous deux pour notre aller-retour entre les deux continents.

CO2_France_Bresil.jpg
Comment compenser ?
J’ai cherché une association proposant un projet qui nous satisfasse. Nous avons choisi « Pure Projet » car il propose en autre d’aider au reboisement de la forêt amazonienne.

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Nous avons aidé la zone de conservation Martin Sagrado au Pérou.