C'est le dernier jour

Pour terminer ce week-end nous voulions voir le Marché « El Rastro », qui est le plus grand marché aux puces d’Espagne. Effectivement lorsque l’on sort du métro il y a des stands dans toutes les rues environnantes et de nombreux promeneurs qui déambulent. Nous sommes un peu déçus par les articles proposés, de « marché aux puces » il n’y a que le nom car ce sont des stands de produits neufs : fringues, téléphonie, musique, bijoux… type marché de station balnéaire pendant la saison, St Ouen est plus pittoresque.

Aussi nous regagnons tranquillement l’hôtel pour récupérer nos bagages mais avant Benjamin voulant un gobelet « Starbucks Coffee » pour faire comme « Leroy Jethro Gibbs » de la série NCIS, nous profitons de nos derniers rayons de soleil madrilène à la terrasse de ce café et ensuite direction l’aéroport.

Week-end à Madrid par Vérone

Celui-là n’était pas prévu ! Gilles nous parla fin septembre de la possibilité de faire un voyage tous les cinq. Et oui, cela faisait longtemps que nous n’avions pas passés des vacances tous les cinq. Mais il fallait que toutes les conditions soient remplies, et notamment Marie et Jérémie devaient avoir leur vendredi du week-end prolongé de la Toussaint. Il fallut attendre mi octobre pour être sûr que l’entreprise de Marie fasse le « pont ».
Aussitôt la bonne nouvelle sue, Gilles et Marie sont allés réserver notre week-end. Destination : Madrid !

Nous étions tous contents de nous retrouver et la grande différence par rapport à notre dernier voyage tous les cinq, était que Benjamin avait pris de la maturité : fini les bouderies pour un oui ou pour un non !
Les temps forts furent les visites de la ville en bus, celles du Prado, du Palais Royal, du stade du Réal pour certains, de la chocolaterie San Ginès, du Starbucks Coffee (première visite pour Benjamin : il s’est pris pour Jethro Gibbs dans la série « NCIS »).
Le beau temps fut au rendez-vous et le thermomètre flirta avec les 20° à midi nous permettant de déjeuner dehors. Inespéré un 1er novembre !
Bien sûr il y eu une fin et un retour un peu gris sous les nuages de Paris.
Gilles, nous repartons quand tu veux !